Blabla-Cube

Après plus de 40 ans d’expérience dans l’agencement de bureau, le constat est clair, les espaces de travail évoluent à toute vitesse, les murs tombent, la modularité s’installe et les nouveaux modes de travail se démocratisent. Créer des bulles acoustiques nous est apparu comme une évidence pour permettre aux utilisateurs de passer des appels téléphoniques, travailler seul ou à plusieurs sans gêner leurs collègues. C’est comme cela que Blabla-Cube est née !

Blabla-Cube c’est LA nouvelle marque d’espaces autonomes, acoustiques et 100% fabriqués en France. Rapide et simple à monter, matériaux de qualité, acoustique soignée, accessible à tous et ultra personnalisable… Blabla-Cube c’est simplement tout ça !

Particulièrement soignée dans ses finitions et son acoustique, la gamme BLABLA-CUBE a tout pour plaire. Ultra personnalisable pour s’adapter à tous les environnements, dotée de toute la connectique nécessaire pour travailler confortablement grâce aux ports USB, aux prises électriques et aux prises RJ45. Sa ventilation ultra silencieuse permet un confort d’utilisation même quand les réunions s’éternisent. Son éclairage LED à détecteur illuminera vos échanges en toute circonstance.

 

acoustqiue

 

De nombreuses options de configuration permettent de se créer une Blabla-Cube unique qui s’adaptera à vos besoins.

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Le confort acoustique

LE CONFORT ACOUSTIQUE

Le confort acoustique constitue l’un des aspects qui a le plus d’influence sur la santé et le bien-être des travailleurs. Il a été démontré que l’exposition à un niveau de bruit excessif possède un lien direct avec des problèmes de santé tels que les troubles du sommeil, l’hypertension et les maladies cardiovasculaires, ainsi que les complications dans l’apprentissage et la cognition. Cet ensemble de facteurs entraîne un accroissement de l’irritabilité et du taux de stress, ainsi qu’une diminution significative des performances et de la concentration des travailleurs.

Au bureau, l’origine du bruit peut provenir de diverses sources : pollution acoustique extérieure générée par la circulation ou les chantiers situés à proximité, pollution acoustique intérieure produite par ordinateurs, imprimantes, photocopieuses ou par les systèmes de climatisation ou d’aération. Mais le bruit le plus gênant est incontestablement celui que génèrent les conversations ou les appels téléphoniques des autres personnes. Fluctuant et saturé d’informations, il se révèle bien plus destructeur que le bruit continu et « sans contenu ». Sans oublier l’Effet Lombard, c’est-à-dire la tendance involontaire, très fréquente au sein des bureaux et des espaces publics, à parler plus fort dans des environnements bruyants afin d’entendre et d’être entendu. Tous ces facteurs prouvent qu’il est essentiel d’analyser la nature de chacun des sons.

Au cours de ces dernières années, la dimension créative et collaborative des nouvelles méthodes de travail a généré des bureaux bien plus ouverts et flexibles, et de ce fait, l’acoustique s’érige comme l’un de leurs principaux défis. Ces espaces conjuguent environnements de concentration et collaboration, et, à l’instar des salles de réunion ou des bureaux individuels, il s’agit de parvenir à un confort acoustique optimal.

De l’architecture et la construction du bâtiment, à la distribution des espaces, en passant par le mobilier ou les matériaux, tout peut contribuer à contrôler les niveaux de bruit et à améliorer la santé et le bien-être des occupants. La solution consiste à proposer une large variété d’environnements capables de répondre à tous les sens, et qui repose sur une conception qui ne se réduit pas à l’esthétique, qui mise sur des outils a priori immatériels, tels que l’acoustique, l’éclairage et l’aération. Autant de facteurs essentiels pour l’augmentation de la créativité et de l’engagement des travailleurs.

Cependant, le confort acoustique ne se réduit pas uniquement au choix des bons matériaux isolants, ou à dresser des cloisons et à placer des portes. Il s’agit également de séparer les activités en fonction de leur niveau sonore, car il est indispensable de pouvoir offrir des environnements différenciés en tenant compte du type de tâche à effectuer ou de l’état d’esprit de l’utilisateur. En effet, si les salles de réunion ou les bureaux indépendants peuvent se contenter d’une bonne fermeture et de matériaux isolants efficaces, il n’en va pas de même avec les espaces ouverts.

Il est possible de parvenir à ce qu’un seul et même espace puisse contenir différents environnements dotés de divers « niveaux d’intimité », grâce notamment à l’utilisation de matériaux phono-absorbants employés sous forme de cloisons de séparations intégrées au mobilier. D’autre part, il convient d’éviter les meubles hauts, qui suppriment le contact visuel entre les travailleurs et obligent ceux-ci à hausser la voix plus facilement ; d’opter pour des surfaces courbes qui réduisent le bruit ; et de placer photocopieuses et imprimantes dans des salles séparées. Par ailleurs, la musique d’ambiance peut constituer également un facteur de bien-être pour les travailleurs, dans la mesure où elle s’harmonise avec le type de tâche à effectuer. De nombreuses études ont démontré les multiples bienfaits de la musique : elle renforce la capacité cérébrale et favorise la concentration, elle permet d’accroître la motivation et de créer une ambiance de travail positive.

En conséquence, et même si la tolérance au bruit varie en fonction de chaque personne et de chaque situation, il est indispensable de créer des espaces de travail qui soient le plus silencieux possible. Il n’existe pas de réglementation spécifique concernant le bruit, mais deux recommandations s’appliquent à cet effet : la recommandation du Guide technique du DR 488/1997, du 14 avril, portant sur les dispositions de sécurité et de santé minimales en matière d’utilisation des écrans avec affichage des données, qui stipule que « pour les tâches difficiles et complexes, le niveau sonore équivalent continu (ou LAeq) supporté par l’utilisateur ne doit pas dépasser 55 dB(A) » ; et la recommandation de la Norme de base pour la Construction-88:NBE-CA-88, qui place les limites à 40 dB(A), pour les bureaux professionnels, et à 45dB(A) pour les bureaux.

Stress, fatigue, perte de concentration … L’adage des open spaces !

Imaginés, il y a plus de soixante-dix ans, les open spaces sont devenus à présent le standard pour les entreprises désirant bénéficier d’une ambiance de travail conviviale.

L’objectif était ambitieux et faisait parler de lui-même : améliorer à la fois la qualité de vie au travail des salariés tout en boostant leur productivité, par la mise en commun des connaissances et savoir-faire ainsi que par une communication dite décomplexée et facilitée.

Bien entendu, la vision d’un bureau ouvert, éclairé et animé est beaucoup plus attirante qu’un bureau austère avec une seule fenêtre … Seulement voilà, faire le choix de l’open space c’est aussi faire le choix d’abandonner les personnes nécessitant un environnement de travail calme où la concentration est de rigueur.

A partir des années 80, le décloisonnement par la création d’environnements de travail collectifs où l’émulsion collective est poussée à son paroxysme était alors un enjeu à la fois social et économique. En effet, les entreprises économisèrent de l’argent sur les charges d’agencement, sur les mètres carrés … tout en donnant l’image d’une entreprise « cool » et tendance où il fait bon vivre. Si bien qu’aujourd’hui deux tiers des salariés français travaillent dans des espaces de travail collaboratifs … Mais dans ce cas … pourquoi cet article ? Nous allons voir que les open spaces, terrains privilégiés des start-up et des agences, cachent plusieurs vérités qui témoignent d’un mal être naissant chez les salariés …

Un aménagement favorisant, à terme, l’isolement. 

UN LIEU PROPICE AUX ÉCHANGES ?

Les open spaces ont été créés à l’origine afin de favoriser les interactions, les échanges et l’émulsion collective. Ils permettent de donner l’impression aux salariés de travailler ensemble vers un objectif commun permettant aussi de favoriser la cohésion de l’ensemble et l’appartenance à une entreprise commune. On retrouve ainsi l’adage : ” moins de cloisons, plus de cohésion “

A tort malheureusement, travailler dans un espace commun ne permet pas de favoriser la cohésion entre collègue, bien au contraire … Une étude de Harvard met en lumière une réaction humaine qui pousserait les personnes à s’isoler et à interagir plutôt par mail plutôt que d’aller voir directement la personne en question. En effet, depuis quelques années, les salariés ne parviennent plus à percevoir les avantages de travailler dans ce type d’environnement de travail et, au contraire, le décrivent comme un espace de distraction où il devient de plus en plus difficile de travailler, de s’y concentrer. En effet, en 2017, 57% des actifs français préfèrent travailler dans un bureau individuel fermé. Les caractéristiques revenant le plus souvent sont le manque d’intimité, la proximité et le bruit parfois trop marquées avec les collègues de travail entraînant ainsi un symptôme de contre-productivité dans les open spaces. (cf. ” Top 10 des idées reçues sur le bruit au travail que vous devez connaître ! “) D’après un sondage réalisé par l’agence d’intérim Qapa, 71% des femmes estiment travailler avec des collègues gênants contre 62% des hommes. Paradoxalement, 89% des sondés ne pensent pas être gênants pour les autres, comme dirait Jean-Paul Sartre : l’enfer, c’est les autres.

Découvrez nos cabines acoustiques

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Le métier d’agenceur

LE METIER D'AGENCEUR

Le métier d’agenceur est très varié. Certains vont le voir comme un menuisier, d’autres comme un Space planner. Les missions d’agencement peuvent en réalité être très variées.

Avant toute chose, il ne faut pas confondre aménageur et agenceur :

– Un aménageur plus souvent appelé Space planner a comme mission de proposer à un client une sélection de mobilier standard adapté à son cahier des charges. En s’adaptant à un espace défini, l’aménageur crée une ambiance et travaille le volume à l’aide du mobilier.

– Un agenceur va lui penser le volume dans son ensemble en commençant par un zoning, une étude des circulations, de la lumière, de l’acoustique. Alliant des conceptions sur-mesure à du mobilier standard l’agenceur propose des solutions personnalisées et uniques à ses clients.

Les différentes facettes du métier d’agenceur

Créateur d’espace :

Certains clients vont consulter un agenceur dans le but d’imaginer de toute pièce un espace, avec la création d’un concept architectural, d’une ambiance, d’un zoning, d’une étude ergonomique en intégrant les normes en vigueur, qu’elles soient liées à la construction ou à l’accessibilité. Un agenceur doit en effet être capable de fabriquer à la lettre tout ce qu’un architecte aura pu dessiner, ou proposer pour des plus petits projets des concepts et des solutions d’aménagement répondant aux cahiers des charges des clients.

Revendeur de mobilier :

D’autres clients vont consulter une entreprise d’agencement afin qu’elle lui fournisse du mobilier. La revente de mobilier de négoce, mobilier professionnel adapté au monde de l’hôtellerie, de la restauration, du secteur tertiaire… est en effet une autre casquette de l’aménagement d’espace. Sélectionner des fournisseurs, faire une veille des tendances, avoir un catalogue produit riche permettant de réaliser des projets uniques.

Le marché du mobilier professionnel pour le secteur tertiaire offre une infinie possibilité de type de meuble même les plus spécifiques, allant d’une banque d’accueil à des bureaux réglables en hauteur en passant par les cabines acoustiques, des tables de réunions, des bureaux de direction, ainsi que des assises en tout genre, qu’elles soient ergonomiques pour les postes de travail ou orientées confort et design pour les espaces informels.

architecte d'interieur

Les partenariats tissés avec des fournisseurs permettent également à un agenceur comme Structa de proposer des solutions clé en main comme la fourniture d’électroménagers dans une résidence ou encore la fourniture d’une literie confortable et résistante.

Menuisier :

Il n’y a pas d’agencement sans menuiserie. Un projet réussi est bien souvent une adéquation entre du mobilier de négoce et de l’aménagement sur mesure. Cela passe le plus souvent par la menuiserie. Des panneaux de mélaminé ou stratifié aux décors infinis aux placages d’essence fine ou même au travail du bois massif brut teinté vernis laqué, la menuiserie permet de fabriquer les créations les plus folles et les plus exclusives. En plus d’être écologique, le travail du bois permet de traiter autant des grandes séries que des pièces uniques.

Le bois peut également se marier aisément avec une multitude d’autres matériaux tel que le métal, l’acier, la pierre, le béton, le Corian. L’agenceur doit trouver les matériaux pertinents pour un projet et les marier pour qu’ils s’accordent esthétiquement et structurellement.

En conclusion, un agenceur est finalement une sorte de gogo gadget, capable de mettre la bonne casquette au bon moment pour répondre de manière unique à un architecte ou un client final avec une multitude de solutions qui créeront des espaces esthétiques résistants et dans lesquels on se sent bien !

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Travailler à Valence

TRAVAILLER A VALENCE

Implantée depuis 40 ans dans la Drôme, Structa a la chance de travailler dans une des régions les plus dynamique de France.

La région Rhône-Alpes est en effet la deuxième région française après l’Île-de-France en terme de dynamisme économique, et pour une PME comme Structa c’est une source d’opportunités immense dans le développement de notre activité.

Les savoir-faire régionaux qui gravitent autour des métiers de l’agencement sont extrêmement nombreux en Rhône-Alpes et encore plus localement autour de Valence et Beaumont-lès-Valence dans la Drôme.

Qu’ils soient verriers, métalliers, fournisseurs en bois ou en tissus, nos partenaires sont nos voisins.

Terre de créateurs et d’artisans, on trouve en Rhône-Alpes et dans la Drôme une multitude d’acteurs économiques locaux qui nous permette d’aborder les projets en utilisant le plus souvent possible les principes de circuit court et d’économie circulaire.

C’est dans cette logique que le groupe Structa a racheté la menuiserie Sarian implantée près de Montélimar et spécialisée dans la menuiserie aluminium. Notre proximité directe avec Lyon et l’agglomération Lyonnaise ainsi qu’avec Paris accessible en deux heures depuis Valence TGV ou encore avec Marseille nous permet d’être à deux heures porte à porte des 3 plus grandes villes de France et donc de pouvoir gérer des chantiers de manière réactive.

Pour nos collaborateurs, travailler à Beaumont-lès-Valence c’est pouvoir vivre dans une ville comme Valence ou faire le choix de vivre dans la nature et profiter des richesses de la Drôme et de l’Ardèche. Pour une entreprise, travailler dans la Drôme c’est aussi contribuer à un engagement écologique local.

En effet la Drôme est une région très agricole et très engagée dans le bio et la transition écologique. En tant qu’acteur de l’économie locale, nous nous devons d’être en accord avec la région dans laquelle nous sommes implantée.

Historiquement implantée depuis 40 ans dans la région de Valence, Structa est fière de ses origines et a su capitaliser sur un savoir-faire local et un dynamisme économique régional pour se développer et devenir un acteur majeur de l’agencement dans la région.

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